Site-Boutique du CCOR

08/08/2018

Comme suite logique au site du Diari, je suis ensuite parti sur la refonte totale du site du CCOR, le Centre Culturel Occitan du Rouergue, soit le cercle ruthénois de l’IEO, dont la section régionale produit le Diari… vous suivez ?

Le CCOR possédait déjà un site, ancien (2009/2011, une éternité en temps internétique !), et une tentative inachevée d’une refonte sur Prestashop. Prestashop ? Oui, car une des activités du CCOR est la gestion d’une boutique de produits culturels occitans sise à l’Ostal del Patrimòni, place Foch à Rodez. L’appel de la boutique en ligne était trop fort, il leur fallait AB-SO-LU-MENT passer par la dématérialisation de ce service pour répondre au mieux aux demandes de clients et d’aficionados de culture occitane parfois installés bien au-delà des frontières aveyronnaises !

Exit Prestashop, j’ai préféré me replonger plus avant dans WooCommerce avec lequel j’avais déjà flirté pour Lo Diari. Et si vous voyez quelques ressemblances avec ce site ou encore avec celui que vous consultez actuellement, comme une sorte de signature chatduelhesque, c’est normal ! Satisfait des services rendus par WordPress et DIVI, je leur suis resté fidèle, y compris pour ma première vraie boutique en ligne.

Et je me suis fait plaisir : intégration d’un système de filtres pour naviguer au mieux parmi le millier de produits disponibles, implémentation de taxonomies pour faire remonter les auteurs (nom français ET occitan) des ouvrages mais aussi les éditeurs, ainsi que quelques autres critères de recherche, j’ai voulu un système de boutique simple en front-end mais profond dans son back-end.

J’ai en sus implémenté un module d’agenda, d’actualités et quelques autres fonctionnalités qui m’étaient demandées, m’arrangeant pour que tout puisse au maximum figurer en One Page, soit une seule page d’accueil, découpée en modules reprenant toutes les informations nécessaires au visiteur. J’ai surtout pu travailler sur le bilinguisme total via WPML, solution complète avec laquelle je flirtais déjà depuis quelques temps. De quoi mettre concrètement l’occitan au même niveau que le français !